Contrairement à ce que le titre laisse entendre, nous n'avons pas acheté de nouveaux meubles nécessitant l'usage du suédois en langue vivante n°1.

Juste un méli mélo des sensations de ces dernières heures qui me colle aux basques.

Journée mi figue mi raisin hier, fière d'être dans la salle à suivre les conférences et débats, moins en sortant pour retrouver la chose difforme et disharmonieuse qu'on appelle équipe.

Retour fatigue absolue, pieds en compote, un quart d'heure pour revenir du parking à la maison avec une démarche que Charlot n'aurait pas reniée.

Et puis le sommeil qui vient et s'en va, réveil milieu de la nuit, rien à faire pour se rendormir...

L'avantage maintenant, c'est qu'en cas d'insomnie, on peut arpenter allègrement le reste de l'appartement sans réveiller l'autre. Promenade en rond, donc, en essayant de faire taire la bestiole sans doute encore vivante que j'avais avalée pour le dîner. Papotage par mail interposé avec un fournisseur de doux rêves (merci, ça a marché). Veille de nuit sur vos blogs.

Retrouvailles avec L'Amoureux qui fait une superbe diagonale (sonore) dans le lit. Je me blottis, bien contre lui, essaye de fermer mes oreilles et hop... ayé dodo.

Réveil un peu difficile ce matin, L'Amoureux déjà parti au pays de Samantdi pour la journée. Retour au bureau. Personne. Je me demande pourquoi je m'emmerde encore avec les horaires ici.

Du boulot.

Pas envie. Pas envie de la réunion show de ce midi non plus, pas envie d'artifices et de voix qui montent.

Envie de décompresser après cette semaine un peu pénible, de dire des conneries, de rigoler.

Envie de mon lit, de retrouver les jolis rêves. D'être en week-end mais ça c'est très bientôt.

Allez, je file chez vous pour me donner du coeur à l'ouvrage.