Je me suis rendu compte que je dormais déjà à moitié debout hier soir, en descendant de mon perchoir.

D'ailleurs, tiens, c'est bête, c'était mes deux derniers jours de "terrain" avant congé mat, et je commence tout juste à m'habituer à ces satanés panoramiques... damned, tout va être à refaire.

Bref c'était l'heure où les rats quittent le navire, ou plus exactement celle où je quittais furtivement les lieux pour ne plus y revenir avant quelques mois.

Dans l'ascenseur il y avait également deux touristes qui redescendaient de leur visite du perchoir.

Et après m'être interrogée intérieurement pendant trois bonnes minutes en me demandant pourquoi diable je ne les comprenais pas quand ils parlaient, je me suis souvenue que je ne parle pas le russe...

C'est ce qu'on appelle une grosse fatigue, je crois. Ou alors il faut me réserver tout de suite une place à vie à l'asile...