J'avais pourtant vu ce film à sa sortie, et je ne comprends pas qu'il ne m'ait pas plus marqué que ça à l'époque.

Peut-être qu'un seul être me manquait alors ?

Comme j'ai de la suite dans les idées, je l'ai enregistré mi août et regardé la semaine dernière. Et j'ai aimé, fort, très fort, ce film, et surtout Manuela, son héroïne.

Celle qui surmonte ses drames en accueillant d'un front égal les malheurs des inconnu(e)s qui lui deviennent indispensables.

C'est quelque chose qui me parle très fort et qui résonne en moi, cette espèce de manière de se sublimer dans la relation à l'autre, aux autres.

C'est beau, je trouve, quand on arrive à devenir, aussi, au delà de ça, quelqu'un auprès de qui on se sent bien, on se sent libre, on se sent soi.