Hier j'ai vu Face de Cul sur un salon, il m'a assaillie de grands sourires et de choses gentilles.

Pour un peu, si je ne savais pas, j'aurais presque pu le trouver sympathique.

Mais comme je ne suis pas qu'une grande âme, j'ai ricané (in petto) à des ragots me revenant sur son compte.

Et de savoir qu'il se prenait une soufflante aussi.

C'est pas bien, c'est un peu mesquin, je sais.

Mais quand j'ai appris que toute son équipe avait été éradiquée par un nouveau venu, recruté à la déloyale, et que les meilleurs en avaient fait les frais en premier, je me suis dit que rien n'avait changé et que ma petite mesquinerie pas dite, à peine pensée, n'était que le reflet de ce qu'il fait de pas bien, pas propre, pas juste.

Et j'étais ravie comme je le suis tous les jours de travail d'être hors de sa zone de contamination.

Ouf !