De ces vacances il me reste l'empreinte d'escales chaleureuses, de quelques jours avec mes parents.

De leur avoir laissé Cro-Mignonne bouffie d'allergies et de l'avoir retrouvée en pleine forme, reine de "son" jardin, de "sa" ménagerie.

De longues déambulations Valenciennes, munies de mes désormais indispensables Crocs (mais j'ai entendu qu'une certaine ministre devait arborer les mêmes, j'en suis bien marrie).

De la chaleur, météorologique, humaine.

Du temps passé avec mon amoureux, un luxe rare.

D'une paella succulente à la Pepica, de la Méditerranée vue d'ailleurs que d'habitude.

Et maintenant il faut s'y remettre. Les premières heures, je les craignais catastrophiques, finalement tout va à peu près. Mais il y a du boulot.

J'ai troqué mes Crocs pour des chaussures plus fermées, mes t-shirts pour du plus couvrant, j'ai froid.

Envie de retrouver mes deux affreux très vite.

La transition est brutale, même si ces dernières heures ont été consacrées à du repos allongé pour éliminer (tenter d'éliminer, vu mon peu de succès) les dernières douleurs de sciatique...

Quand faut y aller...