Nous sommes rentrées samedi, Cro-Mignonne et moi, mais nous avons prolongé la coupure jusqu'à ses derniers instants.

Les vacances ont commencé un peu sportivement en raison de l'affection de la petite pour les chiens, mais de la très mauvaise réaction de son organisme à leur présence.

Finalement, mon frère nous a prêté son appartement, loin des poils variés, et nous en avons profité pour arpenter le (très petit) centre ville maximois, son port, sa plage, ses cafés où prendre le petit déj au soleil.

On a été à la plage, plusieurs fois, fait et détruit des pâtés, mis les pieds dans l'eau, couru au bord de la mer, regardé les bateaux, mangé des sucettes et visité quelques "restaurants des pâtes".

Profité des parents, de mon frère, vu abondamment ma grand-mère récemment emménagée, croisé ma tante et une cousine, des copains locaux.

Nous n'avons pas assez dormi, attirées par le soleil et le grand air, nous avons beaucoup joué, un peu regardé Oggy sur l'ordinateur.

Et sommes finalement rentrées malgré le peu d'envie.

Si ce n'est que Papa L'Amoureux nous manquait très fort, et qu'il commençait à avoir besoin d'un peu de soutien pour affronter les travaux en cours de la salle de bains.

Retour au bureau, donc.

Il faut.

Avec l'étonnante sensation de me demander si hier était bien un jour férié chômé (c'est quoi cette époque qui nous fait douter ?).

Et puis c'est reparti pour un tour. Pleines de nos souvenirs et de l'envie de repartir, à trois, cette fois.