Comme quelques millions de téléspectateurs, j'ai suivi assidûment et au péril de ma vie de famille (de couple ?) la dernière saison d'Urgences.

J'avais prévenu L'Amoureux que pour dimanche dernier, il fallait prévoir large en matière de Kleenex et envisager une astreinte des pompiers pour cause d'inondation de notre chambre par mes pleurs.

Ben non.

Que dalle, que tchi, pas même l'ombre d'une humidité du globe occulaire.

L'Amoureux dirait : c'est une fin merguez (aucun rapport avec l'affluence aux urgences de fin d'épisode, tous cramés, hein ?).

Et voilà comment 15 ans d'amour finissent par une cruelle déception.

Mais bon. C'est peut-être mieux ainsi ? Pour ne pas regretter la finale ?