Et voilà. Il est passé ce premier week-end sans Cro-Mignonne ET néanmoins à la maison.

Il est joliment passé, même.

L'avantage de sa maladie est que j'ai pu, vendredi, éliminer la corvée du ménage. Alors ça faisait deux vraies journées pour le plaisir de s'occuper, même sans elle, après. On devrait tout le temps avoir des week-ends de trois jours.

Samedi promenade, croisé une bande de manifestant au slogan qui m'a laissée amusée (Bettencourt, au boulot !) à St Lazare. Vu la fort jolie exposition d'André Kertész (un hongrois qui a bien tourné, lui). Qui m'a laissé une belle et douce impression. Des rires, aussi, de la bonne cuisine et quelques ingrédients qui rendent la vie souriante.

Hier glandouille de fille : bouquinage et film de gonzesse sous la couette, début de saison 7 de House sur PC, lecture dans le bain, temps qui passe sur ma flemme sereinement assumée. Je ne sais même pas le temps qu'il a fait. Je m'en fous. J'étais bien dans mon cocon. Dans mes cocons du week-end.

Et puis Cro-Mi rentrée, festival de bisous et calins et coquineries. Elle est de retour et le module maman se branche de nouveau en moi. En mode actif. Elle va mieux. C'est reparti pour une semaine.