Préambule : tout ce billet n'est bien sûr qu'hypothèse et toute ressemblance avec des personnages existants pourrait n'être qu'une totale coïncidence. N'est-ce pas ?

Prenons un homme, une femme, chabadabada.

Ou non.

Faisons dans le plus figuré, ça vous évitera de penser que des ressemblances avec des personnages existants, blablabla.

Prenons une bisounoursette. Facile, tout le monde aime les bisounours. Et un bisounours. La bisounoursette dit un jour au bisounours que bon, voilà, tu vois, mon coeur de bisounours il bat fort pour toi. Le bisounours en gentleman décline la proposition tout en l'assurant de sa plus grande affection, néanmoins.

Et ils continuèrent leur chemin de bisounours. Cheminant côte à côte sur la route de Bisouville. Croquant au passage un arc-en-ciel en guimauve, riant aux facéties des Tout P'tits Bisounours, profitant de la vie.

Le bisounours, tout empli de sa plus grande affection mais sans toutefois être amoureux, prodigue attentions et gestes tendres à sa bisounoursette. Qui la plupart du temps en est ravie : quoi de meilleur qu'un câlin de bisounours ?

Sauf que parfois, le bisounours, qu'il ne se rende pas bien compte et/ou qu'il y prenne particulièrement plaisir, il met sous le nez de la bisounoursette ce qui lui ferait vraiment, mais alors vraiment (oui chez les bisounours on a l'enthousiasme qui se répète) très très plaisir. Et non c'est pas cochon. Et que la bisounoursette, quand elle se retrouve avec le museau du bisounours tout près du sien, elle épuise son énergie à résister à la tentation.

Pour changer de métaphore : vous êtes au régime. Vos plats préférés, fumants, tout juste sortis des cuisines des meilleurs chefs, sont sous votre nez. Littéralement. Genre à 1,5 cm. Et vous savez que vous n'avez pas le droit d'y goûter. Cruel, non ?

Bref, pour revenir à nos bisounours. La bisounoursette, du coup, parfois un peu paumée, perd de son aura bisounoursesque. Mais comme elle est pestouille et qu'elle a un blog, elle se dit que bon. Elle a des lecteurs créatifs. Qui par leur humour débridé vont bien lui fourguer deux ou trois idées de châtiment explemplaire à faire subir à son bisounours en cas de débordement.

Alors je vous en prie, soyez imaginatifs, et lâchez-vous !

Note de bas de page numéro 1 : samantdi, la bisounoursette a mordu. Littéralement. Pas assez fort, sans doute, mais mordu. Si c'était moi, tu serais fière, hein, Tante Pim ?

Note de bas de page numéro 2 : il va de soi que vos idées s'adressent à une bisounoursette et pas à une humaine, hein. Ca serait une humaine, vous seriez en train de lui dire : prends tes jambes à ton cou et casse-toi le plus vite possible. Et quelque chose me dit que vous n'auriez pas tort. Mais là, c'est la bisounoursette.

Note de bas de page numéro 3 TRES IMPORTANTE : il va de soi que les châtiments doivent être légaux et sans (trop) de dangers pour la santé. D'autant que le bisounours doit avoir un problème cardiaque sévère. C'est vrai, allongé, au repos, parfois il a de ces emballements impressionnants, alors comme ça ne peut pas être lié à des émotions qu'il ne ressent pas, ça doit être une TRES GRAVE maladie cardiaque. Le pauvre. Donc interdit de lui faire ingérer des drogues à son insu, par exemple, hein ? :D Non, parce que je vous connais, les coupains.

Note de bas de page numéro 4 LA PLUS IMPORTANTE : bien sûr, la bisounoursette, y a pas d'endroit où elle se sente mieux que près de son bisounours, à part une exception d'un mètre et quelques. Alors elle a tendance à mal prendre qu'on en dise du mal ou qu'on lui veuille du mal. Tout ça c'est un billet pour en rire plutôt que pour en pleurer. Donc aucun bisounours ne doit être maltraité pour de vrai ou méchamment dans les commentaires de ce billet. Je compte sur vous.

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