Les Mille et une vies

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Mot-clé - douceur

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mercredi 2 novembre 2011

97 heures

Ces dernières heures, les 97 qui composaient ce long week-end (miam, bien mérité), j'ai... ri aux facéties de deux juniors, multiplié mes yeux pour les ramener sains et saufs à la maison.

Souri à leur complicité enfantine, à les voir disparaître des heures autour de jeux pour lesquels, finalement, je ne suis pas utile. Pris un air béat à quelques doubles câlins.

Joué avec eux, aussi, un peu, parfois.

Dit au revoir à ma fille.

Puis bonjour, deux jours après.

Discuté avec une sympathique et bavarde demi folle obsédée par les plaques commémoratives dans le train, elle en a loupé sa station.

Fait des nuits en tranches napolitaines, un peu de début de sommeil puis un réveil de mi-nuit pour accueillir celui qui rentrait. Les effets du changement d'heure sur la paire de juniors, aussi, une nuit.

Ri à deux à l'un de mes films cultes. Découvert un indispensable chanteur.

Fait des tas de choses indescriptibles qu'on met sous le nom "rien fait" quand on raconte son week-end. Sauf que dans ce rien faire se tissent bien des choses essentielles. Sourire...

Cuisiné, un peu.

Dormi, pas tout à fait encore assez.

Et fait des choses pas racontables non plus. Comme scandalisé ma grand-mère (huhu, j'y arrive encore, elle n'est pas complètement habituée !).

Et puis, sur la fin, mesuré le vide que laisse celui qui rentre quand il s'en va de nouveau. On s'habitue, vite, à la présence d'un autre battement de coeur à côté du sien...

Bref. C'est l'heure de retourner au quotidien. Dire que je n'ai pas envie n'est rien. Vivement ce soir, les copains.

mardi 20 septembre 2011

Quand les objets se parent de belles pensées

Depuis longtemps j'aime bien le thé.

Assez pour considérer que c'est un plaisir à part entière que d'en boire un, pas une boisson par défaut, comme d'aucuns que je connais et qui considèrent ça comme de l'eau chaude parfumée. Oui, toi, là-bas, c'est de toi que je cause !

Pas assez pour être spécialiste internationale et experte en dégustation, option lapideuse de ceux qui y oseraient un sucre. Vu que, régulièrement, je sucre. Encore que. Pour ce dernier point, ça n'est plus vrai que pour les sachets du bureau.

Cet été, j'aidais un camarade à trouver un cadeau, qui devait être une théière, et j'ai eu un coup de cœur pour l'un de celles e-rencontrées.

Et puis la vie a fait que la consommation de thé dans la maison a plus que doublé, du coup, histoire de se faire plaisir, histoire d'y mettre du joli, et pourquoi pas un peu de symbole, j'ai craqué pour la théière et elle a fait son entrée à la maison.

Théière

Elle est jolie, et pratique, et pleine de la douceur de moments partagés, de petits rituels doux qui s'instaurent doucement, et je ne peux passer devant sans lui sourire.

C'est vrai, sans doute, que le thé n'a pas le même goût quand elle y participe. (Sourire).

Un bel objet qui en plus est source de sourires. Sa patine sera belle, croyez-moi.