400...

Je n'ai pas un goût marqué pour les célébrations obligées, mais là, je marque un instant. Limite interloquée.

400.

Je suis une sacrée pipelette, dites donc. Vous pourriez dire, quand même, que j'envahis l'espace de mots !

En même temps, 400 notes depuis 20 mois que j'ai rouvert ce blog, ça ne fait que 20 par mois, même pas une par jour. Finalement tout est toujours perfectible.

400 ?

Dont combien de vraiment intéressantes, intelligentes ? Pas des tonnes, je le crains !

400 !

Si je pouvais avoir la même abondance pour écrire un roman !

400.

Et ben.. ça ne nous rajeunit pas, tout ça.

(J'illustre en clignant de l'oeil : pour les mots au tableau, les 400 coups, et le retour d'un certain amateur de Truffaut. Oups, paupière coincée, maintenant...)