Ce matin, en apprenant qu'un autre patron s'était fait Molexer séquestrer, je me demandais à quoi me faisaient penser ces mouvements de colère de travailleurs, d'humains tellement poussés à bout qu'ils ne voient plus que cette option-là pour essayer de sauver leur peau.

Et ça m'est revenu.

Germinal.

Du coup, heureux sont les dirigeants en question qu'aucun n'ait eu le service trois pièces sectionné sur un coup de rage.

Comme quoi tout est relatif.

Quoi, je n'arrive pas à les plaindre ? Ben non.

M'est avis que ceux qui ont été les plus responsables, transparents et respectueux vis-à-vis des humains qui fabriquent leurs richesses "avant d'en arriver là" repartent du bureau sur leurs deux pieds (ou leurs quatre roues), allez comprendre...