Je souffre à la voir s'étouffer dans des quintes de toux, vagues spasmodiques.

On l'a tellement souhaité, ce printemps.

Et maintenant qu'il est là, elle en célèbre l'arrivée d'une façon plus qu'inconfortable.

Les nuits sont hachées, par ses réveils, par l'inquiétude, aussi.

Et je ne pense qu'au moment de la retrouver le soir, la palper, la savoir au mieux possible.

Et merde.