C'est rigolo comme les changements d'heure nous transforment en potentiels "Alice" (pas celle du wouwou, celle du pays des Merveilles).

Selon les temps de recalage de chacun (moi : une semaine au bas mot), nous voilà à courir après l'heure qui manque, à notre sommeil, à notre organisation, à nos réveils pas toujours réglés.

A vrai dire, si ça ne me pesait pas tant sur le système de sommeil, ça me ferait plutôt rigoler.

Un vrai sujet de conversation d'ascenseur, en tout cas !

(Rien à voir mais chuis d'humeur)