Bon, la réponse à la sieste Freudienne.

Samedi dernier, je faisais connaissance "en vrai" (ce qui n'était quasiment qu'une formalité !) avec mon puits de science préféré, celui qui sait ce que je pense avant même que je le pense et qui plus est, me soutient moralement quand je ne comprends pas mes analyses médicales ou que mon anti-House de médecin ne trouve pas ce qu'à ma fille. Ou que j'ai un gros chagrin. J'ai nommé Eric, que vous pouvez aller lire pour votre plus grand plaisir.

Comme ça se passe généralement quand on se retrouve entre être humains, on devise de sujets importants, tels que la sieste. Et nous nous disions que dans nos existences, nous aurions l'un et l'autre aimé être capables de ces fameuses micros siestes fort réparatrices.

Eric me racontait qu'à ce sujet, Tonton Sigmund, quand il voulait faire une petite sieste, prenait à la main ses clés. Et que passé le cap des 20 minutes nécessaires à la réparation de son déficit de sommeil, elles lui tombaient naturellement des mains, produisant ainsi le bruit nécessaire à son éveil.

Du coup, à chaque fois que je fréquente mes chiottes high tech, je rigole en me disant que c'est une version moderne des clés de Freud, non pour l'interprétation des rêves, mais pour le réveil de la micro sieste.

Et voilà, ça me fait ricaner, et c'est toujours ça de pris.

D'ailleurs je risque d'en avoir besoin aujourd'hui, Cro-Mi malade comme un chien hier, je ne sais pas encore ce qui m'attend pour aujourd'hui. Espérons : du mieux. Mais du coup, je gagne soit une journée à la maison à la chouchouter avant qu'elle n'aille se faire dorloter par son papa pour le week-end, soit le droit de tester la configuration : prise de sang sur enfant phobique des blouses blanches et rétive à la piqûre. Entre les deux mon coeur ne balance pas trop. Croisez les doigts pour elle.