De retour.

Avec un cafard plus gros que moi.

La rencontre avec la belle Toulouse a été au-delà de ses promesses. Je suis tombée en amour immédiat avec la brique Toulousaine et les différents accompagnateurs (et instigateurs) de mes promenades ont recensé environ 350 appartements dans lesquels je me serais installée sans qu'on me force trop. Enfin à part le job, tout ça, quoi.

Des humains à la pelle, aussi. De la chaleur tous azimuts. Des moments précieux au cœur, à la vie.

Sur le trajet du retour, je me disais que mes attachements avaient quelque chose d'enfantin dans l'absence notable de protocole que j'y mets, et quand je vis des moments comme il y en a eu de ma sortie d'avion à la montée dans celui du retour, je me dis que je suis dans le vrai. Qu'à défaut de ne jamais en souffrir, je n'ai jamais eu à avoir mal de n'être pas disponible pour ces partages d'humanité.

Je ne vais pas vous raconter : ça ne serait pas racontable.

Juste, je suis heureuse, et triste que ça soit fini. Mais ça n'est pas vraiment fini, en fait. J'y ai laissé des bouts de moi, des empreintes, j'en ai emporté d'autres, et l'histoire entre Toulouse, ceux qui ont partagé ces moments et moi continue.