(Titre en forme de private joke)

Vous vous souvenez de la liste des défauts qu'on devait faire, tout ça ?

Bon.

Il y a une chose que je ne vous ai pas dite.

Quand je suis fatiguée, je mélange les mots. Et en général je m'en rends compte trop tard, bien sûr, dès qu'ils viennent de franchir mes lèvres sous forme d'une phrase, dans le meilleur des cas absurde, dans le pire des cas un peu... hum hum... embarrassante, disons.

La palme de la dyslexie surréaliste, c'était un soir, il y a quelques années de ça. On fêtait notre bac avec des copains et j'étais épuisée (on se demande bien de quoi, vu la somme de boulot abattue, il devait y avoir une autre raison).

Avant de m'allumer LA cigarette du début de la soirée, je demande à un copain de "me poster le téléphone". Et bien incroyable mais vrai, il m'a bien passé, comme je le voulais, le cendrier.

Mais s'est foutu de moi pendant les 5 années suivantes.

On ne peut pas tout avoir. Le cendrier et la tranquilité d'esprit.

J'en ai une autre à l'esprit mais pas trop racontable, en fait.

Et puis attention, hein ! Pour ceux qui rigolent trop fort, la punition c'est de copier 100 fois :

"Je ne me moquerai plus de Pest@Couettes au risque d'être privé de bisous et de gâteau au chocolat".

Pigé ?

;-)