Je déteste les revers de la médaille, les envers du décor, les face B, les dos du tableau...

Je hais la vision de la chute, le truc qu'on croyait solide et qu'on voit se fissurer peu à peu sous ses yeux.

J'ai horreur des chutes de dominos, où l'un entraîne les autres dans une mécanique implacable, et même s'il y en a un qui reste debout, l'ensemble ne ressemble plus à rien.

Il est des renoncements qui ont le goût de gifles violentes.

Et ne pas savoir où aller se tapir pour hurler son dépit. Ne pas savoir vers quoi se tourner pour y croire assez et se battre, pour deux, pour trois, s'il le faut.

La faute à ne plus voir ses pieds, peut-être. Ca empêche de voir dans quelle direction aller.

Et merde.

(Pardon, je mets hors ligne les commentaires de ce matin et je ferme pour le moment. Pas dans l'état d'esprit pour y réagir bien, pour y répondre bien...)