Parfois il faut lâcher prise.

Il faut se convaincre de croire aux explications, il faut tenter de faire confiance en tournant le dos aux lourds nuages menaçants du doute.

Parce qu'on a un bébé de six mois dans les bras qui gazouille pendant que vos larmes coulent et qu'on se dit qu'elle a droit à toutes les batailles.

Alors on contemple la nouvelle cicatrice, et on se dit que la bonne nouvelle c'est qu'avoir mal, c'est être vivant encore.

Et on se convainc de continuer encore un peu plus loin.

Merci pour vos mots sur le blog et ailleurs, c'est bon de se sentir entourée de douceur dans les moments difficiles.