Aux revoirs...
Par Sacrip'Anne le lundi 3 octobre 2011, 00:34 - All about Chiboum - Lien permanent
Parfois c'est lui qui rassemble ses affaires et s'en va, parce qu'il est temps.
Souvent c'est moi qui ferme la porte sur la fin de son sommeil.
Dans un sens comme dans l'autre, la porte est à peine fermée que le début du manque s'installe, fort, violent.
Parce que mes heures préférées, ces temps-ci, hors celles où Cro-Mignonne me réjouit, ce sont celles que je passe avec lui.
Si on disait au monde à quel point le bonheur est simple, on y vivrait mieux, je crois.
En tout cas pour moi c'est simple autant que fort autant que doux.
La vie. Telle qu'elle vaut la peine de se démener pour la vivre ainsi.
Merci la vie, merci pour lui, que j'attends, de nouveau. Impatiente.
Commentaires
Pas mieux ! des bises :heart:
Ah ben voilà cela se précise.
"Le bonheur est simple " .... tu as raison et cela fait plaisir qu'une belle personne comme toi le vive !
Happy... :heart:
Profite, la douce.
A mercredi, Gilsoub 8-) La bise !
Valérie, ah ben pour moi, c'est très clair, rien à préciser !!
charlottine, merci...
smily, je profite, sans trop besoin de rappels, ma foi :heart:
Longue vie à cet amour tout neuf. Un jour, vous vous souviendrez de ces heures de manques avec tendresse et bien plus encore de vos retrouvailles.
Quand il s'en va, le temps commence à être ton allié,
puis qu'inéluctablement il passe et il te le ramène.
So cool :) 0:-) :-* !
Luce, c'est exactement kesske j'me dis. Mais quand même. La patience n'est pas la qualité qui m'est la plus facile !! :heart: A très très vite.
Liwymi, yeahhhh. :)
Brrrrrrrrrr !
(retranscription du frisson qui m'a saisie à la lecture de ce doux et fort et simple billet)
Un joli frisson, j'espère, ma jolie Zelda ? ;)
Ce sanglots doux (écrit en mars 2006, pour un amour tout neuf, je te le dédicace aujourd'hui, je t'aime espèce de sister va)
Ce sanglot doux raconte la retenu du manque
la pudeur des départs, la vitesse du vide
qui me reste après toi, ma vague à l'âme tant que
plane l'effluve de toi. Je suis déjà avide
De tes mains, ma passion, des tes bras ma maison.
Au cœur des heures qui s'écoulent je suspends mon vol
le temps devient amer, des veines glisse le poison
Il nous a volé une heure de caresses ce fol
étourdi. Je vois ce jour s'allonger de nuits
seule, j'aurais des rêves de grande dame
Des désirs de ta peau, à mordre à pleine vie.
Ma si précieuse mémoire présente à fendre l'âme.
Ce sanglot doux raconte la magie de s'aimer
Comme nous, mon merveilleux, mon il de beauté.
Très joli, oui ! (Comme si tu pouvais en douter ...)
Merci ma Luce. C'est rigolo, ça me parle, dis donc. Touchée...
Moi aussi je t'aime, ma grande sister, j'ai hâte de rire (et spa impossible, pleurer un peu) avec vous tout à l'heure. Et hâte de voir la tête de Paco, j'avoue. 0:-)
Zelda, non, je ne doutais pas, mais comme ça me fait plaisir un mot de toi ici, j'en profite pour y semer des points d'interrogation pour te faire revenir. Ca va ? 0:-)
Ça va et ça me va très bien, sweet you ;) . Je te dois toujours un mail, j'ai la mémoire longue (autant que la détente ! :p )
zelda, t'aurais pas dû me dire, je vais te harceler, maintenant :-D
Ouh c'est bien joli et joliment dit :heart:
Puis il y a les retrouvailles après chaque au-revoir ...
Les amoureux qui s'bécotent sur les bancs publics... :-)
Raphaelle, merci 0:-)
Madeleine, oh oui ! Mais je ne suis pas sûre que ça soit très racontable :)
Anna, ah bon ? Tu nous as vus sur des bancs publics ?? :-D
:heart:
Oh, fais gaffe, tu as des coeurs dans les yeux, Pappo !! :) :heart:
Si tu pouvais ne pas être aussi heureuse que moi en amour ça m'arrangerait parce que je n'aime pas la concurrence, mais bon, vu que tu en as besoin autant que moi, je t'autorise à me battre à plates coutures en câlineries et je t'envoie des caisses de poutous, na, ça t'apprendra, nan mé ho !
Donc, tu imagines très bien ce qui se passe après DES MOIS de manque... :sick:
PROFITEZ ! :heart:
C'est (en partie) ce joli billet qui m'a poussée à écrire le mien (ici), et comme je te cite, je me devais de te dire merci - de m'avoir donné l'envie de raconter. Les au-revoirs, je connais (aéroport de Newark), l'impatience aussi, le manque encore plus...
dom, mume, j'vous avais pas vus !!
Merci dom. Et mume, je ne VEUX MEME PAS imaginer. Même pas en cauchemar.
Merci Lola, pour ce magnifique billet. Il faut que tu ailles sur les indelur lire les Rencontres, alors, ça te parlera d'autant mieux :heart: