Où va le temps qui passe ?
Par Sacrip'Anne le lundi 21 septembre 2009, 08:43 - All about Chiboum - Lien permanent
Passé le week-end à dormir, plus ou moins.
Dire que je suis enfin reposée serait exagéré, pourtant.
Et puis en colère contre ce temps passé à me requinquer à peu près, sans pour autant en faire des choses agréables, totalement.
Le temps libre passé à se réparer du temps salarié, est-ce une vie ?
Quoi d'autre ?
L'impatience d'une suite me ronge. Mais quelle suite ? Quel prochain pas ?
En attendant, retour de Cro-Mi à l'école ce matin. J'attends le compte-rendu. J'aurais aimé y être, en fait.
Voilà. La vie passée à la faire passer. Pas une fin en soi...
Commentaires
Que l'Amoureux en fasse un blues in blue ! Au moins il y a ta petite qui reprend qui va te raconter plein de choses ce soir... Bisous en rose !
Merci Pablo de tes encouragements ! Bises aussi !
Ah, j'appelle ça le blues de "la vie de con". ça me prend régulièrement. Cette espèce de colère aboutie en générale sur des bonnes résolutions, tenues plus ou moins selon le défi lancé. T'as pas un petit défi personnel à te lancer ? Rien de tel pour se sentir à nouveau "vivant". Plein de bises en attendant que ça passe, parce que comme le temps, le blues passe :p et une grimace pour rire, une !
Je me pose des questions qui rejoignent un peu les tiennes. Je dois reprendre le boulot dans un mois et demi, et laisser mon petitou à d'autres. Ne presque plus le voir, pour aller "gagner ma vie". Avec tout ce que ça implique, le peu de temps qu'il nous restera pour profiter de lui ... Fait chi*r.
Luciole, si, je suis en train de refaire mon CV LOL ! Des bises aussi. Et des grimaces !
Raphaëlle, ah mais toi tu cumules avec le blues de la jeune maman qui va repartir au boulot. Bon courage. En même temps, c'est pas désagréable de reprendre des conversations d'adultes, de temps en temps !
Dur dur ce début d'automne...
Comme toi, je culpabilise de ne faire "que" récupérer...Et pourtant, c'est nécessaire, mais tellement frustrant.
Je ne peux que t'envoyer des encouragements, et des vitamines virtuelles...
Et des bises bien sûr :kiss
Floh, je te renvoie la pareille ! :kiss
Arf, ça me navre. On dirait bien que pour la première fois depuis des lustres on n'est pas synchrone :-/
Je ne me vautrerai donc pas ici dans le délice de ma vie d'Avant retrouvée mais je dirais juste qu'heureusement, après la pluie du revers, vient le beau temps de la médaille, bref, non la tartine ne tombe pas toujours du côté de la confiture ! LOL
Alors accroche-toi ma grande :kiss
Oh que oui, c'est bien agréable les conversations de grands, celles qui sortent du thème caca et ses variations couleurs/texture/quantité/odeur ... Mais n'empêche que si je ne pouvais travailler qu'à mi-temps par exemple, ça m'irait assez! Histoire d'avoir du temps pour profiter de la vie quoi. Fin bref, de toute façon j'ai pas le choix. Picétou !
De temps en temps, dormir et ne rien faire, ça conduit à la frustration nécessaire pour avancer ... pas très agréable comme méthode, mais rudement efficace !
Courage !
Moi je te vois bien faire une pause (plus ou moins longue), prendre l'air et le soleil, et, entre les calins de Cro-Mi et les bisous de l'Amoureux, nous écrire les pages de ton roman.
What else ?
Des bisous de courage et de tendresse.
Un blues d'automne... au fait, il parait que le melon peut avoir un effet positif sur le blues d'automne surtout si tu le manges avec ta fille en t,en mettant partout et en crachant les pépins.
heidi, ben tant mieux pour toi ! C'est vrai que ça doit faire du bien, quand ça s'arrête !
Raphaëlle, ah oui, du temps pour regarder la vie passer, je comprends ton envie...
Poufpouf, merci de ce réconfort !
Missy'V, il ne me manque qu'un gentil donateur, en fait !! Bisous tendres à toi aussi, ma belle.
Moukmouk, hinhin, essaie de lui faire manger un fruit, rien que ça, c'est drôle !
moi je bosse à mi-temps, c'est moins de sous mais c'est plus de temps...mais par contre passer deux jours avec ma puce au lieu d'être au boulot, oui c'est génial mais c'est fatiguant! plus que de travailler en tous cas!
allez courage, plus que 35 ans avant la retraire :)
Change ! Oui, je sais, c'est plus facile à dire qu'à faire. Mais imagine que tu ne puisses pas faire autrement, tu verrai qu'en fait ce n'est pas si difficile que ça. D'autant que tu n'es pas toute seule à faire bouillir la marmite.
claramar, ah la retraite ! Plus je la regarde, plus elle s'éloigne, celle-là !
Malheureusement le temps partiel ne m'est pas possible dans les circonstances actuelles, mais bon...
Akynou, j'y travaille ! Mais j'aimerais bien trouver la chose qui me fait vibrer le matin, quand je me réveille. Et pour le moment, suis un peu à court d'inspiration !
Ta version éclaire de ton jour à toi braqué par ton projecteur d'âme personnel, l'indispensable question jamais résolue du fameux :
"où vais-je, où courge, dans quelle étagère" ?
En réalité ce n'est pas une question, par définition une question est ce qui, une fois posée, obtient une réponse. Or nous savons tous qu'il n'y a pas de réponse à cette question, car s'il y avait une réponse à cette question, la vie même n'aurait plus de sens.
Alors, plus tu te la poseras, cette non question, et plus tu vivras. Que ce soit chez toi, au boulobon ou au boulocon, avec ou sans la cromignonne, qui par définition un jour, à l'heure où blanchit la campagne, la la la, ...
Alors, heureuse?
Pas taper, merci.