Hier soir je suis restée pour la troisième fois interdite devant la note expliquant aux clients le chantier du parking où je stationne le jour.

Incompréhensible. Entre les tranches, les niveaux et les couleurs, je ne suis même pas sûre que son auteur s'y retrouve.

Enfin l'essentiel est là, notre niveau habituel est fermé jusqu'à au moins tout ça, si ce n'est plus tard.

Pas grave, on se met au même endroit, l'étage en dessous. Ca ne change pas tellement l'histoire.

Un peu plus tard je me sortais vivement d'une situation un peu empêtrée à un carrefour et reprenais allègrement de la vitesse. Un peu trop pour le panneau rond. Quand, apercevant des silhouettes blanches et bleues sur un zébra un peu plus loin, je pesais du bout du pied sur la pédale de frein, j'ai cru mon heure venue en voyant l'une des silhouettes étendre le bras.

Et non. Il montrait quelque chose à son collègue de l'autre côté de la route.

Huhu.

Ouf.

Et hier soir, à la faveur d'un coq à l'âne incertain, m'est revenu en tête ce tube des années 80 (1983 pour être précise). Les contemporains de cette période se régaleront, j'en suis sûre, du souvenir, alors que les plus jeunes découvriront pour leur plus grand profit de ce monument culturel planétaire.

Après cet étalage hétéroclite de bouts de journées, Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, laissons place au groupe batave "The Shorts" - Comment ça va ?