Ah, ces fameuses distorsions du temps !

Celles qui font que les heures attendues passent si vite, les autres si lentement.

Des sortes de tarte à la crème du temps, si l'on veut.

Elles me laissent frustrée, ces distorsions de temps. Vous me direz : ça veut dire que tu vis. Oui mais. Encore ! Encore !

Et puis plein le dos du boulot.

Littéralement, j'ai passé samedi et dimanche (un peu moins) avec un méchant point de coincement dans le quart bas/droit.

Pas très étonnant que j'attaque la semaine avec une humeur proportionnellement mauvaise à mon envie de travailler. Oui, ça fait de très mauvaise humeur, tout ça.

Vite, rendez-moi le doux, le bon, le tendre. Un rire de ma fille, les bras de mon enchanteur. Un moment de papote avec ceux qui sont loin et qui manquent.

Gagner au loto, donc (projet ruminé un million de fois, jamais mis sérieusement en chantier).