Les Mille et une vies

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A lire, à écouter...

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mardi 24 mai 2005

A,B,C...

Même en période de ... mue... on se rend compte que les fondamentaux ne bougent pas.

Pour vous donner un exemple, les livres.

Là on commence doucettement les cartons. Alors j'étais partie pleine de bonnes résolutions, en me disant que j'allais les grouper dans les cartons tels que je voudrais les déballer.

J'ai longuement réfléchi...

Et puis au bout de deux cartons (non complets) de "Rom. Fr. Contemp" je me rends compte que ça n'a aucun sens, que mon regroupement est inique !

Evidemment que Robert Merle serait mieux à parler des humains et du monde qu'ils se fabriquent avec Emile Zola. Et puis Djian il aurait mieux valu le mettre dans les "Rom. US. Contemp" avec Kerouac et Roth qu'à côté de Colette. Non qu'ils n'aient rien à se dire, je pense, mais bon.

Bref, mon classement ne vaut rien.

Ne le dites surtout pas à L'Amoureux, il croit que j'ai pris de bonnes résolutions.

Et puis surtout, il essaie de me fourguer un classement par type d'édition (et pourquoi pas par ordre alphabétique, aussi, pendant qu'on y est ??? beurk).

Décidemment je ne saurais jamais classer les livres.

Et vous savez quoi ? J'en suis ravie.

On a le Pest@Couettes Power ou pas...

vendredi 13 mai 2005

DILEMME

Taratata ce soir.

Presque une bonne nouvelle, non ?

Sauf qu'au programme : Yannick Noah, Raphaël, la Grande Sophie et...

VD

Il nous poursuit ou quoi ?

vendredi 6 mai 2005

EPATEE

Epatée je suis ...

Oui oui, vous m'épatâtes...

Dépasser les 70 commentaires sur un sujet tel qu'un chanteur un peu à la mode, ça me sidère. Et pourtant on l'a fait, ensemble.

Alors pour vous remercier, pas plus tard que cet après-midi, vous aurez droit à la version audio du tube de l'été 2005 "Mes amours ont vieilli".

Même pas c'est une blague. Et merci au chanteur/compositeur qui a dû se brider à mort pour qu'on reste dans le pastiche.

Perso, quand je l'ai écoutée, j'en suis restée bouche bée une bonne trentaine de secondes avant de rigoler, tellement c'était dans le ton (sauf que c'est moins faux, mais bon).

Donc voilà, tenez-vous prêts, fourbissez vos enceintes, tout ça.

Sinon je voulais vous dire qu'à lire vos commentaires, j'ai des grandes bouffées de bonheur avec des vrais morceaux d'affection dedans.

Alors je vous dis merci.

Et puis bon week-end pour ceux qui ont la chance de ne pas travailler aujourd'hui (pas comme certains martyrs du blog, suivez mon regard...)

EDIT :

Pas la peine d'attendre que j'ai maté ma radio-blog, vous pouvez déjà écouter le tube planétaire chez Poupoule

Dépêchez-vous, les précommandes en édition limitée sont déjà presque épuisées !

EDIT2 :

Ayé c'est en ligne ! Direction la radio blog en bas à droite de cette colonne. N'oubliez pas de ré écouter ou de découvrir mon amoureux d'une part, et Alter Echo d'autre part, histoire de vous changer les idées après !

mercredi 4 mai 2005

JUSTE UNE MISE AU POINT

Histoire qu’on en finisse avec cette histoire.

Non, une bonne fois pour toutes, je ne suis pas sensible aux charmes de Vincent Delerm.

Pour plusieurs raisons.

D’abord parce que dans le genre nostalgie, le temps passe, mais les petits bonheurs quotidiens sont bien jolis, on a une palanquée d’auteurs un peu plus talentueux.

Je ne sais pas, moi, prenons « Allo Maman Bobo », « J’veux pas que tu t’en ailles », « Mistral Gagnant », pour ne citer que les trois premières qui me passent par la tête, me semblent relever d’une écriture plus poétique, chacune dans son style, que celles du dénommé V.D. Pour rester dans sa génération puisque le trentenaire bobo régressif est une tendance à lui tout seul, je préfère un million de fois la poésie acidulée d’un M qui, en plus, me déprime moins.

Pour preuve, je viens d’écrire en 10 minutes montre en main, les paroles du prochain tube de V.D.

C'est ici.

C’est pas transcendant, hein ? Et bien posez les à côté de la plupart des textes du godelureau, vous verrez, ça prête à confusion. D'ailleurs j'ai fait le test sur L'Amoureux, il n'y a vu que du feu.

D’autre part parce que dans le genre j’ai pas de voix, et mon look poches sous les genoux et barbe mal rasée, il y a Miossec. Et que tiens, ah ouais, ses paroles aussi je les préfère, à Miossec qui est vachement moins crispant, comme garçon. Un peu plus bourré (bourru ?) peut-être, mais comme je ne vis pas avec, ça ne me dérange pas.

Alors à l’heure (joli, je devrais mettre ça dans une chanson de V.D.) où d’aucuns célèbrent leurs héros, je décrète EN TOUTE SUBJECTIVITE que je n’apprécie pas ce monsieur et donc déclare officiellement ce lieu :

BLOG SANS VINCENT DELERM (ben quoi, il y en a bien qui ont fait ça pour les chats ???)

Je vous vois venir, bande de trolls, vous aller tenter de me convaincre, me farcir les commentaires de soupirs enamourés pour le si grand talent dans l’air du temps du beau (bof) Vincent mais je serais inflexible.

Je ne déménagerai pas Rive Gauche. Je ne roulerai pas en Smart. Je n’écouterai pas Vincent Delerm. Et c’est tout ce que j’ai à dire sur le sujet !!!

(tourne les talons et monte le son pour mieux entendre Placebo et David Bowie)

mardi 26 avril 2005

RETOUR VERS LE FUTUR

Pour préparer un peu la joyeuse phase dite "des cartons", je commence à trier les papiers et affaires accumulés depuis quelques années.

Hier c'était une plongée dans des papiers qui ont une petit dizaine d'année, du temps de ma folle jeunesse étudiante !

J'ai retrouvé ceci, que j'avais complètement oublié. Ca m'a un peu fait pouffer d'auto moquerie, mais pas trop quand même. J'ai l'impression de me reconnaître à 8 ans d'écart, c'est déjà bon signe.

12 décembre 1997

NE PAS

Ne pas se mentir ou se trahir

Ne pas oublier qui l'on est

Ne pas se changer pour l'autre

Mais tenir compte de sa présence

Ne pas tricher pour gagner

Ne pas intriguer

Ne pas essayer de bluffer

Mais se souvenir qu'on peut perdre

Ne pas aller trop vite

Ne pas trop écouter les autres

Ne pas jouer contre le destin

Mais se souvenir que la vie est courte

Ne pas se détester quand tout va mal

Ne pas croire qu'il ne voit rien

Ne jamais se cacher

Mais toujours exister

Ne rien regretter

Ne pas se retourner

Ne pas attendre trop de demain

Mais toujours espérer

Que ce n'est pas la dernière fois

Qu'on aime

Qu'on s'aime

Bon je vous l'accorde, ça ne vaut pas le Prix Nobel de poésie, hein. Mais ça m'a amusée, un peu, beaucoup.

J'ai aussi retrouvé des tas de lettres de ma grand-mère et des tas de choses qu'elle a écrites. Je les garde pour plus tard... le temps d'apprivoiser les souvenirs qui vont remonter.

samedi 23 avril 2005

A LA DEMANDE PRESSANTE DE LALUNE...

(y en a autre qui ont "demandé à la luuûûneuh", moi c'est Lalune qui me demande des trucs, c'est pas classe ?)

Quels sont les trois auteurs dont vous auriez aimé suivre le blog s'ils avaient pu en avoir un ?

Par ordre alpha.

  • Colette
  • Voltaire
  • Zola

J'ai hésité toute la nuit sur Kipling aussi, mais bon.

Allez, puisque relais il faut passer, je le passe à : Anastomoses, Jujuly et Poupoule.

vendredi 22 avril 2005

CharlElie

Objectivement, on peut dire que la période est calme.

Ce qui pour des gens qui travaillent plutôt vite, de nature, signifie de longs moments inactifs un peu de temps pour me plonger dans la lecture de mes blogs favoris, me promener dans vos archives, remonter le temps...

Hier chez AutchoZ (et ça ne m'étonne pas de sa part), j'ai trouvé loin loin loin les paroles de "La ballade du mois d'août 75".

Ravissement.

Double flash-back

En août 1975, j'imagine mes parents dans une sorte d'état second. Heureux et sans doute un peu inquiets aussi. A l'aube d'une nouvelle vie, plus à deux, mais à trois (enfin quatre, en comptant le terre-neuve). Maman a dû souffrir beaucoup, il faisait chaud sans doute et les derniers jours lui ont probablement semblé encore plus longs qu'ils ne paraissent en ces circonstances.

Et puis hop, à peine la page du mois d'août tournée, me voilà.

Cette chanson, pour moi, fait remonter immanquablement l'image d'un jeune couple follement amoureux et heureux, qui attend avec impatience de voir la bobine du premier né de leur descendance. (Sur ce chapitre, ils n'ont pas été gâtés, mais c'est une autre histoire. Que je vous raconterai peut-être un jour, n'ayant pas peur du ridicule).

Autre flash-back. Il y a dix ans. Il faut savoir qu'avant de rencontrer L'Amoureux, qui est une sorte de prince charmant mais en beaucoup mieux, j'ai été spécialiste de la longue, très longue histoire d'amour. Platonique serait un mensonge, l'amour platonique était réciproque et ce n'était pas mon cas.

Pour faire court, j'en ai bavé des ronds de chapeau. Et pas que.

Pour me réconcilier avec les hommes, le genre masculin, il n'y avait pas beaucoup de solutions. Il y avait quelques-unes des chansons de CharlElie.

"Rachel aime les hommes qui ont une faille, comme une fêlure dans l'émail"... ça m'a transportée, loin, loin...

CharlElie Couture, c'était un des hommes qui savaient parler des femmes comme ils savaient parler aux femmes, je trouvais. Et ça donnait tout de suite du sens à la vie, que de savoir qu'il en existait au moins un, sur ce modèle.

Alors aujourd'hui, la bande son, ce sera CharlElie.

jeudi 31 mars 2005

TIREZ LA LANGUE ET DITES AAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHH

Découvert via Martin Winckler un excellent article sur le formulaire de désignation d'un médecin traitant, et surtout un complément d'information qu'on ne nous transmet pas avec l'excellentissime livret envoyé (pas toujours) en accompagnement du dit formulaire.

Je me demandais comment des gens de la comm' pouvaient être aussi obtus dans leurs explications, et sans faire de mauvais esprit, il semble qu'il y ait des raisons pour que ce ne soit pas très clair ni dans leurs cerveaux, et a fortiori pas dans les nôtres.

Bonne lecture, donc, c'est ici.

En ce qui me concerne, je trainais les pieds d'abord sur des questions de principe, et aussi sur des raisons de pratique (le généraliste près de chez nous est un cas... à part et en plus on va déménager, donc il faudra trouver un médecin qui nous convienne dans le quartier), mais là, je pense que je suis bien décidée à jouer la mauvaise élève...

lundi 21 mars 2005

JE ME SUIS FAITE EURE*

  • Traduisez : telle est prise qui croyait prendre.

Alors voilà, au programme, je voulais vous faire part de ma très grande joie en voyant que les affiches des abribus près du bureau avaient été changées et que... enfin vous voyiez quoi.

A la place, je vais répondre au questionnaire que Pappolène m'a transmis.

Et en fait, elle ne le sait pas encore, mais le fait qu'elle soit ma marraine de blog est directement liée à l'une des réponses de ce questionnaire.

Donc allons-y pour le Questionnaire Lecture !!

Combien de livres lisez-vous par an ?

En moyenne un à deux par semaine, mettons 1,5, soit 78 par an. C'est une de mes grandes frustrations, quand j'étais jeune et étudiante, c'était facilement autour de 5 par semaine !

Régulièrement plusieurs à la fois d'ailleurs (enfin pas un oeil sur chaque livre, quand même).

Ce qui est la cause de nombreuses angoisses de L'Amoureux qui a peur de finir étouffé par des piles de livres qui se reproduiraient entre eux pour envahir tout notre espace. Il n'a pas tort, soit dit en passant !

Quel est le dernier livre que vous ayiez acheté ?

Ainsi parlait Zarathoustra de Nietzsche. Que je n'avais pas (et n'ai pas encore) lu. (L'ordre de lecture chez moi n'étant pas nécessairement conditionné par la loi du "First in, first out")

Quel est le dernier livre que vous ayiez lu ?

Je viens de relire et de finir synchroniquement Cent ans de Solitude de Gabriel Garcia Marquez et Treize à la douzaine de Franck et Ernestine Gilbreth.

Eclectique, je vous dis...

Listez 5 livres qui comptes beaucoup pour vous ou que vous avez particulièrement appréciés.

Bon, la dernière fois avec la musique j'avais triché, donc on va faire pareil cette fois, on ne change pas une équipe qui gagne.

  • Alors, justement, Treize à la douzaine de Franck et Ernestine Gilbreth. C'est une lecture qu'on se passe de génération en génération chez nous et ... je dois dire que je retrouve beaucoup de mon père et de son propre père dans la figure paternelle et les anecdotes familiales... Une lecture salutaire à conseiller à tous, donc.
  • Le petit prince de Saint Exupéry. A chaque fois que je le relis j'y trouve des choses nouvelles. Incontournable, à mon goût.
  • A peu près tout ce qu'a écrit Patrick Cauvin / Claude Clotz. Certes ce n'est sans doute pas un auteur inoubliable, mais j'ai lu E=MC2 mon amour toute mominette, et depuis je guette tous les ans sa nouvelle production. Sans parler de visites régulières au Salon du Livre pour aller rosir des joues devant lui. Ben oui, quoi, on a pas le droit d'avoir un côté midinette ?

Et c'est ainsi que Pappolène aura compris le pourquoi du comment de la chose...

  • L'absolue intégralité de tout ce qu'a pu écrire Emile Zola. Une plume incroyable de talent, un personnage exceptionnel, j'aurais aimé le rencontrer, lui.
  • Candide ou l'Optimisme de Voltaire. Que j'ai aimé. Que j'ai ri, mais pas que ri ! Tiens, d'ailleurs, ça fait longtemps que je ne l'ai pas relu...
  • Tout ce que j'ai lu de Colette (donc pas loin des oeuvres complètes). Un personnage dont la vie a plein de petites connexions avec celle de notre famille, un style à rester la bouche ouverte et savourer la même phrase pendant des heures. J'ai entendu il y a quelques années la rediffusion à la radio d'une émission où Colette lisait un de ces textes (Les vrilles de la vigne ??) et j'avais adoré le contraste entre son rugueux accent bourguignon et la finesse de la langue. Bref. J'arrête de m'étaler, vous aurez compris mon enthousiasme !
  • La sage des Malaussène de Daniel Pennac, une vraie révélation familiale ! On a découvert ces romans un été et on se mettait la pression pour accélérer le rythme de lecture de celui qui avait le roman suivant en cours.
  • Tous les romans de Robert Merle hors Fortune de France que je n'ai pas lu. Un talent exceptionnel de documentariste, d'écrivain de politique-fiction, quelle que soit l'époque ou le sujet abordés. Mon préféré des préférés étant Le jour ne se lève pas pour nous, mais ça se joue à rien.

Voilà, comme d'habitude, j'aurais à peine posté que je me rendrais compte de plein d'omissions, je n'aime pas restreindre, c'est comme ça.

Quant à passer le relais, ma foi, je le passe à qui voudra !

lundi 21 février 2005

UN QUESTIONNAIRE A ECOUTER

Exercice impose par Heïdi laquelle obéissait à Angel. Moi aussi je balance.

Combien y a-t-il de fichiers de musique sur votre ordinateur ?

Chais pas. Je devais compter ce week-end et j'ai fait autre chose, finalement. Pas mal, d'autant que j'en ai ACHETE (et oui, il y a des gens qui paient pour la musique en ligne. No comment.) Et encodé pas mal de mes CD pour mettre sur mon baladeur mp3.

Quel est le dernier CD que vous avez acheté ?

L'avant dernier album de A Perfect Circle. En pensant acheter le dernier d'ailleurs, mais qui est moins bien, paraît-il.

Quelle est la dernière chanson que vous avez écouté avant de lire ce message ?

"Cannonball" des Breeders à la radio dans la voiture ce matin. J'ai chanté en coeur avec d'ailleurs.

Donnez 5 chansons que vous écoutez souvent ou qui comptent beaucoup pour vous :

Euh... question foutage de gueule, alors je vais répondre à côté, forcément...

Tout Jeff Buckley, y compris les bootlegs à pein audibles.

L'intégrale des Beatles que ma Môman a versé dans mon biberon.

A peu près tout ce que j'ai entendu de Bach, aussi. Le requiem de Mozart, le Stabat Mater de Pergolesi. Mes seules indulgences catholiques sont pour leur musique, en fait.

Les chansons de L'Amoureux.

"Without you, I'm nothing" repris par Placebo en duo avec Bowie.

A peu près tout Radiohead.

Suzanne, de Leonard Cohen. Et plein d'autres de ses chansons aussi.

Tout ce qu'a fait Dylan avant son accident et sa conversion !

Et sa bande de copains qui faisaient de la bonne folk song il y a une grosse quarantaine d'années.

Jonasz, presque tout.

Muddy Waters.

Stan Getz. Voilà, ça c'est juste ce qui me passe par la tête dans l'urgence, donc à peine un millième de ce que j'emporterais sur une île déserte. Je vais m'arracher les cheveux dans une heure en me rendant compte que j'en ai oublié plein des essentiels.

A qui allez-vous passer le relais (3 personnes) et pourquoi ?

A Missy'V parce que je suis sûre que ça va être du bon !

A Pappolène par curiosité.

A Autchoz pour savoir où farfouiller dans les bacs de jazz 8-)

mardi 15 février 2005

QUELQUE PART DANS LE NORD...

Voilà.

Je suis excitée comme une puce (oups Google, zut) et je n'arrive pas à aligner trois mots. Infos à suivre demain !

Donc en attendant, je vous invite à aller directement là-bas, prendre le temps de lire ces textes, que c'est des vrais bijoux.

Un style de rêve, et visiblement une sacré personnalité derrière tout ça.

Alors sinon, vu qu'en ce moment, dans la blogsphère, il y a des coups de blues, des pannes d'inspiration, des "j'en ai assez" qui engendrent pauses et fermetures...

... et que je n'ai jamais été une fashion victime (on dit suiveuse de mainstream, c'est ça ?)....

... j'ai le plaisir de vous annoncer que...

.... Ce blog N'EST PAS en pause !

mercredi 9 février 2005

NOUS DEUX

Un poème que j'aimais avant de savoir qu'il nous ressemble...

Nous deux

Nous deux nous tenant par la main

Nous nous croyons partout chez nous

Sous l'arbre doux sous le ciel noir

Sous tous les toits au coin du feu

Dans la rue vide en plein soleil

Auprès des sages et des fous

Parmi les enfants et les grands

L'amour n'a rien de mystérieux

Nous sommes l'évidence même

Les amoureux se croient chez nous.

Paul Eluard - 1951

jeudi 27 janvier 2005

UN GROS DOUTE

Mon frérot m'a offert pour Noël Avant le Big Bang des frères Bogdanov...

Pourquoi pas ?

Mais quand je vois qu'ils persistent à écrire événement avec une faute (répandue, certes, mais une faute quand même), j'espère qu'ils n'en ont pas fait autant dans leurs équations révolutionnaires parce que du coup, la crédibilité du bouquin...

vendredi 14 janvier 2005

LECTURES, RELECTURES

Au cours d'une conversation récente sur nos lectures en cours, j'ai été amenée à expliquer que je suis non seulement une grande (en volume) lectrice mais aussi une grande relectrice.

A tel point que j'ai relu des dizaines de fois certains livres, parfois deux fois de suite, parfois à quelques années d'intervalle.

Il y a quelques semaines, c'était les "Souvenirs" de Pagnol. En ce moment, entre deux nouveautés, j'ai glissé "Le cri de la chouette", de ce cher vieux Bazin.

Bref.

Tout ça pour dire que ça les a fait sauter au plafond, mes interloctutrices !

Du genre "Mais comment ? Ca n'a aucun intérêt puisque tu connais déjà l'histoire".

Bah si... le plaisir du style, le fait de changer d'oeil sur un récit, le fait de se replonger dans une sorte de famille littéraire, enfin des plaisirs à la relecture, j'en trouve en pagaille.

Pas vous ?

mardi 7 décembre 2004

MERCI NIKKO !!!

Grâce à l'intervention de Nikko, le conte est maintenant dans une jolie page qui va beaucoup mieux à vos talents d'auteurs. Vous pouvez allez admirer via ce lien ou par la colonne.

Qu'il soit publiquement remercié de ses compétences techniques, de son bon goût et de sa très grande gentillesse.

Merci encore, Nikko, une grosse bise spéciale pour toi.

QUAND FAUT Y ALLER FAUT Y ALLER !

Voilà !

Au moins une (bonne) chose de faite !

Le conte (puisqu'il n'a pas la structure pour s'appeler fable) du sapin et de l'enfant (ou l'inverse) est compilé et en ligne !

Merci encore à tous les auteurs, j'ai pris beaucoup de plaisir à ce petit divertissement et j'ai beaucoup ri en en faisant un seul morceau. Vous êtes tous cités là-bas et ceux qui ont fait apparaître les liens vers leurs blogs seront "joignables" pas ce biais.

Pour le look de la page... faut que je réinstalle le logiciel qui va bien et qu'une muse frappe très très fort à la porte, mais ça viendra, sans aucun doute.

Du coup j'en ai profité pour mettre la colonne à jour, bienvenue aux "nouveaux", merci d'être venus jusqu'ici, c'est un plaisir de vous lire.

Voilou voilou, la journée s'annonce encore rude, mais promis, un jour, j'arrête ;-) (le boulot, pas le blog, faut pas rigoler avec les choses sérieuses !!)

jeudi 2 décembre 2004

FABLE DU 2 DECEMBRE

Suite à l'excellentissime idée d'Heïdi, je vous propose aujourd'hui que nous écrivions à ... tant de mains que nous le voulons la fable du 2 décembre.

Alors chacun son tour, on ajoute quelques mots ou quelques phrases aux choix.

Et comme ici, c'est chez moi, je commence !!!

FABLE DU SAPIN ET DE L'ENFANT

L'enfant venait d'entamer le calendrier de l'avent...

mercredi 1 décembre 2004

HAIKUS

Ce n?est pas que je sois d'humeur paresseuse, je vous jure...

Mais beaucoup beaucoup de boulot.

 

Donc aujourd'hui je vous propose de faire une journée haïkus : chacun dépose le sien. Pas d'obligations : ils peuvent être poétiques, drôles, tristes, absolument tout ce que vous voulez !

 

Si vous l'"empruntez", n'oubliez pas de citer l'auteur, la référence, éventuellement une url...

 

Si vous l'écrivez, bravo.

Rien à gagner sinon le plaisir de partager.

 

Allez, je me lance (et pardon d'avance, je suis très très nulle en haïkus).

 

 

Matin d'hiver

Corps qui se recroqueville

Près de la chaleur de L'Amoureux.

 

Je sais, c'est pitoyable...

Pour me rattraper, j'en cite un de Jean-Louis Bouzou, lu ici

 

Méditant

sur l'éternité

je n'ai pas vu le temps passer.

mercredi 17 novembre 2004

DES GARCONS DANS LE VENT

Alors c'est l'histoire d'une radio blog qui ne voulait diffuser que de la musique de gens qu'elle connaît.

Pas pour de sombres histoires de copyright, non non (bien que), mais surtout que derrière la musique il y a les humains qui la composent et que la musique c'est vivant, et tout et tout...

Donc prem's des beaux garçons dans le vent, il y eut et il y a toujours L'Amoureux.

Pis maintenant il y a Alter Echo, à écouter tout aussi absolument.

Là en direct pendant que je vous écris ces quelques mots, en même temps je papote avec Lalune (vous le reconnaitrez facilement, c'est lui qui joue de l'instrument bizarre qui n'est pourtant pas un violoncelle) et j'écoute ces quatre garçons (3 d'un côté et un de l'autre) en boucle en même temps.

Que du bonheur je vous dis.

D'ailleurs les plus grands en parlent, la preuve :

On clique ici ou bien dans la Radio Chiboumz dans la colonne pour écouter et ici pour voir le site d'Alter Echo où même qu'il y un blog dessus.

(et pardon à Heïdi pour le ôôôô combien honteux abusage de ses méthodes)

jeudi 14 octobre 2004

JEFF BUCKLEY, ENCORE, TOUJOURS...

Reçu par mes amis d'Amazon et commencé hier Dream Brother. Vies et morts de Jeff et Tim Buckley de David Browne.

C'est affolant, je ne suis pas de nature idolâtreuse, mais ce Jeff a quand même joué un rôle, de loin, de ses Etats-Unis, de ses bouts de doigts et de cordes vocales.

Je vous en dirai plus quand j'aurai fini, mais rien que le prologue valait la peine.

J'ai aussi cédé à mes grands principes de ne pas (trop) acheter les disques posthumes en faisant l'aquisition de Grace- Legacy Edition. Rien que la première chanson du disque 2 méritait l'investissement.

C'est du beau, du pur, du qui vous touche l'âme et le coeur, vous rend pire ou meilleur...

Voilà. Encore une note autour de Jeff Buckley. Ce n'est pas la première, ce ne sera pas la dernière.

Mais juste de savoir que notre rencontre, avec L'Amoureux, est placée sous l'étoile de cet artiste que j'aime tant, je trouve ça le plus beau des signes. Et jusqu'à preuve du contraire, ce n'est pas faux, loin de là !

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